Les Seekers ont de nombreux chants, certains populaires, d'autres réservés à une phalange de soldats, ou propres à certaines occasions.
Il est aussi d'usage chez les Seekers d'honorer la mémoire des frères d'armes tombés au champ d'honneur par des ballades épiques.
Si tous les Seekers ne chantent pas, ils ont au moins en commun de connaître La Charte, ce poème qui leur tient lieu de commandements.
La Charte[]
Ton bras défendra les faibles
Ton corps sera le remparts de nos cités
Vois, juges et sanctionnes
Fais de ta marche une semence de prospérité
Ta vie commencera dans l'Histoire
Ta mort sera sa consécration
Ton nom sera Seeker
Chants aux Disparus[]
A tous les morts de la Porte de Tarkan[]
Sur ces terres pourrissantes, souffrances, peines et dégout
Le ciel pleure, ses larmes ruissèlent sur vos joues
Visages hagards, le regard vide vers les étoiles tournés
Héroïsme, chair et acier de leurs sang baptisé.
Poussières à la poussière Cendres aux cendres
Leurs noms s'oublient alors que leurs visages disparaissent
Partage la vision d'un peuple anéanti
Partage cette vision et que se révèle a toi l'hérésie
Qu'une bataille n'exalte que martyr, souffrance et haine
Aux yeux de la création, Blasphème obscène
....à ne jamais oublier
Mausolée funeste cicatrice infâme
Défigurant a jamais ce lieu et leurs âmes
Les miens sont mort ici, désormais unis a cette terre
je ne peux les ramener, je ne peux rien réparer
Je ne peux que reprendre cette terre qui vous a vu tomber ...
....Notre héritage
Chants de guerre[]
La chanson de Craonne version DL[]
Ecouter la chanson dans sa version originale
Quand, jour après jour, comm’ a l’échafaud
On nous renvoi sur l’ plateau,
Nos armures sont bien utiles
Tant qu’on s’prend pas d’pile
Mais c'est bien fini, on en a assez
Personne ne veut plus marcher
Et l’ coeur gros, Seeker, en plein assaut
On dit adieu aux civ'lots
Même sans tambours, même sans trompettes
On s'en va là-haut faire face a la bête
- Refrain :
Adieu la vie, adieu l'amour,
Adieu notre ville citadelle
C'est bien fini, c'est pour toujours
Adieu notre cité La Baronielle
C'est à Craonne sur le plateau
Qu'on doit brûler sa peau
Car face a tous ces contaminés
Nous sommes les sacrifiés
Nos nuit sont tueries, nos jours sont souffrances
Pourtant on a l'espérance
Que ce soir viendra la r'lève
Que nous attendons sans trêve
Soudain dans la nuit et le silence
On voit quelqu'un qui s'avance
C'est ce pourri de Chevalier Nivel
Qui vient nous parler d’Hans, solennel
Que ce serait lui faire honneur de se battre sans répit
Comme si, Seeker, ce n’était pas déjà la boucherie
- Refrain -
C'est malheureux d'voir dans les rues de Tanarisse
S’pavaner les Marchands sans cicatrices
Si pour eux la vie est rose
Pour nous c'est pas la même chose
Au lieu d'se cacher tous ces embusqués
Feraient mieux d’ faire face aux contaminés
Pour défendre cet’ terre, car nous n'avons rien
Nous autres pauv' hommes de bien
Tous nos camarades sont enterrés là
Pour défendre les piaces de ces messieurs là
- Refrain :
Ceux qu'ont le pognon, seront les vainqueurs
Car c'est pour eux qu'on crève
Mais c'est bien fini, car les seeker
Vont tous se mettre en grève
Ce s'ra vot' tour m’sieurs les camelots
D'monter sur le plateau
Et si vous voulez faire la guerre
Payez-la de votre peau
- Composé par un inconnu, toujours recherché par les autorités Seeker pour atteinte à l'honneur de l'armée.
Autres chants[]
Souvenez-vous[]
Souvenez-vous de nos villes
Où il faisait si doux vivre
L’harmonie était le maitre mot
Quel bonheur de vivre sans maux
Et les légions de la bête ont déferlés
Par le feu et l’enfer nous ont chassés
Les plus résistants, elle a asservis,
Seuls certains retranchés représentent un défi
Aujourd’hui face à elle les exilés reviennent
Afin de s’unir pour la déloger
Soyez tous de la même fraternité
Et boutez hors d’Hysteria toute cette haine
Prenez dès maintenant les armes
Et soyez fier de défendre ces terres
Qui pour nos enfants seront sans larmes
Lavées du sang de leurs pères
Chant des Nains Seekers[]
Une tempête succède à une autre
Un contaminé tombe, dix le remplacent ; il en est toujours ainsi,
L'avidité les pousse à franchir nos frontières,
Et nous, les Nains, les accueillons volontiers, il en est toujours ainsi.
La hache enfoncée dans la panse,
Le couperet dans le crâne ou dans la cuisse, il en est toujours ainsi,
Jusqu'à ce que tous soit occis.
Pour la gloire de nos clans, nous protégeons les peuples,
Aucun repos, aucune halte, c'est notre devoir,
Il en est toujours ainsi,
L'âme s'envole vers la Forge Eternelle, il en est toujours ainsi,
Et se réchauffe près du fourneau rougeoyant,
Il en est toujours ainsi.
Les éloges ne nous intéressent pas, jamais nous n'attendons de remerciement,
Il en est toujours ainsi,
Nous accomplissons notre tâche avec ardeur,
Il en est toujours ainsi,
Aucune créature ne franchira les murailles,
il en sera toujours ainsi.
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